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A la fin du XIXème siècle, Lord Kelvin annonce que la physique est terminée, tout ce qui était à expliquer a été expliqué, à comprendre compris. L’intégralité du XXème siècle lui a donné tort. Dans leur folle exploration de mondes défiant l’imaginaire, des fluctuant marécages quantiques aux jungles cosmiques en expansion, les physicien.nes se sont heurté.es à des mystères qui semblent inextricables. Pour cacher leur ignorance, les scientifiques leur donnent des noms qui en disent long : matière noire, énergie sombre. Si savoir ce que l’on ne sait pas est certes un premier pas vers la compréhension, l’infiniment petit et l’infiniment grand restent irréconciliables depuis des décennies. Alors quoi ? Les pauses café dans les laboratoires de physique sont trop longues, et il s’agit juste de laisser aux scientifiques un peu plus de temps ? Ou faut-il regarder hors des revues institutionnelles, à la recherche de nouvelles idées ? Les courageux.ses à avoir déjà osé s’aventurer hors des sentiers battus par le CNRS ont peut-être entendu une voix discordante que les grands médias et les institutions scientifiques ne relaient pas, tant sa théorie fait trembler les fondations de cent ans de physique : l’expansodynamique de Guy Patel.

L’expansodynamique vue par une IA.

Principes de base :

Les particules sont composées de deux proto-ondes de dilatation quantique de l’espace, les expansons.

Les expansons sont en mouvement spinexaux hypercomplexes au sein des particules. Les particules sont donc des spinex qui dilatent l’espace.

Les particules massives sont des orbitospinex, les autres des lineospinex. Oubliez donc chromodynamique quantique et théorie des cordes. Elles sont “archi-fausses”, pour citer Guy Patel, puisque les spinex sont à la base de tout. A tel point que certain.es appellent l’expansodynamique la spinexophysique.

Les spinex ne sont pas représentables, c’est le principe d’hypercomplexité des spinex.

A partir de là, toutes les interactions fondamentales (gravitation, faible, forte et électromagnétique) sont unies, au contraire du Modèle Standard actuel qui tient à grand renfort de rustines et demande une gymnastique franchement peu convaincante.

L’ensemble des spinex crée les champs expansodynamiques, qui expliquent l’expansion de Hubble des galaxies, sans cette malhonnête énergie sombre. Toute la cosmologie est dès-lors remise en question, en particulier le modèle du Big-Bang qui pourtant formate une grande partie de la communauté scientifique (si ce n’est toute…). La théorie prometteuse de Guy Patel concernant la structure et l’origine de l’Univers est la théorie du multilot. Au début, l’Univers n’était qu’un méga-vide cosmique, l’énergon, à partir duquel se sont formés des créatex, des milliards d’îlots primitifs, sur plusieurs millions d’années. Un îlot est une boule en expansion de milliards de galaxies, alors que l’espace inter-îlots n’est pas en expansion. Ce que les cosmologistes mainstream appellent “notre Univers”, qui aurait 14 milliards d’années, est en fait notre îlot.

L’omerta des institutions :

Le fameux principe d’hypercomplexité des spinex est à la base de l’expansodynamique, c’est même là que réside son génie. Mais ce principe vient avec un corollaire malheureux : l’expansodynamique est impubliable. Vingt ans que Guy Patel développe l’expansodynamique, vingt ans qu’aucune université ne l’autorise à l’enseigner, qu’aucun laboratoire ne se penche sur sa théorie, qu’aucune revue ne le publie. A croire que l’expansodynamique serait une pseudo-science ! Il serait temps que Guy Patel, génie peut-être incompris, atteigne la visibilité qu’il mérite, sans quoi la physique restera -peut-être à jamais- bloquée à l’âge des questions sans réponses.


Voici un lien vers son Quora : https://fr.quora.com/profile/Guy-Patel/. A nous toustes, nous arriverons peut-être à mettre l’expansodynamique sur le devant de la scène.

Mathieu

P.S. :

Le lecteur attentif aura sûrement remarqué la date de publication de cet article. Sa reprise a priori au premier degré par certains cercles pseudo-scientifiques nous met face à une certaine responsabilité déontologique, d’autant que ce blog est hébergé par l’Université Paris-Saclay, pouvant lui donner une certaine légitimité auprès d’un public peu formé au travail scientifique. En bref, nous avons décidé d’amender cet article de ce petit carton pour insister sur son caractère humoristique et parodique.

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