Driiiiiiiiing !!! Vous entendez ? C’est la rentrée des classes, à vos amphis (ou ce que voulez, si vous n’êtes pas étudiant.e, ou que vous préférez sécher). J’ai donc décidé -non, le président m’a forcé, disons le comme ça, je ne passe pas pour le méchant comme ça- de faire un bilan des mois de juillet et août, dans cette toute nouvelle édition de la gazette d’ALCOR, pour se remémorer avec nostalgie ces deux mois si chéris.
Les mois d’été sont généralement calmes. Je vous aime beaucoup mais je suis quand même mieux à la plage que sur le plateau de Saclay, et puis les nuits sont courtes, faire de l’astro nous ferait nous coucher à pas d’heure, ça risque d’en rendre plus d’un rochons (enfin surtout un, il se reconnaîtra). Quelques événements notables tout de même, que je vous liste ici.
Petite animation en partenariat avec l’école d’été Rencontres des deux infinis. L’idée était d’organiser une petite observation pour les participants -des étudiant.e.s, en L3 principalement. On peut dire que ce fut un échec. Le rendez-vous est pris devant le bâtiment des STAPS, au fin fond de la vallée (“ouiiii l’élitisme du plateau, arrêtez de regarder la vallée de hauuuut”, Sophia arrête, STAPS c’est vraiment le bout du monde). On essaye d’éviter de se faire bouffer par les moustiques et autres créatures qui rôdent dans les marais, et on lance l’obs… pendant dix minutes. Un sacré voile nuageux vient cacher les étoiles, avec quelques gouttes. On remballe vite-fait, après avoir quand-même regardé Albireo et Alcor (forcément). À refaire l’année prochaine, mais en étant plus fins sur la météo.
Le gros événement de l’été, c’était quand-même le festival d’astronomie de Fleurance, mais Clara vous en parle déjà dans un article dédié (le lire ici). Moi je ne peux pas vous en dire plus, avec Marie (votre secrétaire préférée), on s’occupait des ancien.nne.s à la plage, c’est important de conserver un lien avec le passé et les traditions.
À part ça pas grand chose, quelques observations fin août histoire de se remettre en jambes, dont une photo complètement ratée. Nous on est reposé.e.s (non) et prêt.e.s à reprendre une belle année avec vous (enfin doucement quand-même, laissez-nous nous échauffer). A plus sous la coupole !
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